Perquisition chez Jean-Luc, le coffre fort d'Alexandre introuvable

La perquisition chez Jean-Luc a permis de faire éclater la vérité au grand jour: Le coffre fort d'Alexandre n'y était pas. Nous attendons la suite de l'enquête pour savoir si la perquisition au siège de la Frange Insoumise a été plus fructueuse. Cependant, selon les premiers éléments de l'enquête, il se dirait dans les milieux autorisés que Jean-Luc n'était pas tout seul chez lui. Il le confirmera plus tard en avouant "les relations étaient excellentes"

Le nom de l'élu apparaît dans deux enquêtes. La première porte sur la réalité du travail des assistants parlementaires européens mis à disposition de la France insoumise. La seconde a débuté avec les soupçons de la commission nationale des comptes de campagne sur les conditions de financement de sa campagne présidentielle de 2017.

Sur la forme, ces perquisitions étaient légales. Contrairement à ce que laisse entendre Jean-Luc Mélenchon, qui a dénoncé « une opération politique », rien n'empêche la justice de mener de telles opérations de fouille au domicile d'un responsable politique ou au siège d'une formation. Seules quelques institutions bénéficient d'un régime particulier pour garantir leur indépendance : le Sénat ou l'Assemblée nationale, par exemple, où toute perquisition nécessite l'accord de leur président. Avec son immunité parlementaire, le député est uniquement protégé contre les gardes à vue.

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